L'eau est fraîche mais elle fait du bien !

L'eau est fraîche mais fait du bien !
Libre

Marre de cet endroit, Marre de cette famille. J'étais venue ici pour reconstruire, batir, rénover, approfondir mais j'avais tout loupé, tout détruit, tout rénové. Plus rien ne ressemblait au haras de l'Aube, celui que j'avais hérité. La famille a m'occupé etais ce un autre héritage ? Car celui là, je ne le veux pas ! Toutes ma jeunesse papa me rabachait, " Nouméa, souviens toi que dans la vie, tout le monde n'est pas ce que tu veux, il faut donc apprendre a faire ce que tu veux à tout le monde ! " Mais cette phrase je ne la comprenais toujours pas. Comment ça faire ce que je veux à tous le monde ?

Je courrais donc dans les écuries, attrapa mon filet, l'ajusta à Make & monta sur son dos. Il avait beau être 6h30 du soir, on y voyait toujours. Je laissa au pas rênes longues Make, il était tellement calme ! Puis finalement toruvant le temps trop long et mes pensées débordante, je pressa mes mollets et Mak partit au trot. Je n'avais jamais monté make a cru, mais il se révélait confortable. Voyant la mer en vue, je mis même Make au galop, le terrain n'était qu'un terrain de sentier ... La mer de son bleu magnifique approchait. Je descendit de cheval à la vue du sable. Je passa les rênes par dessus et emmena Make au bord de l'eau. Je lui trempa les sabots puis revint sur le sable. Je le caressa et decida de m'assoir à mon tour. Puis j'essaya de coucher Make sur le sable doux. Je lui pris sa patte la posa au sol puis la seconde et le poussa légèrmeent, celui ci se laissait faire come un doux poulain et se coucha. Il se roula un petit moment et se laissa coucher le dos plein de sable; Face à la mer, je posa ma tête sur le dos de mon fidèle acolyte et pensa au nombreuses choses qui me tourmentais.

Tiens j'avais envie de faire une petite ballade. Bon j'avais tous de fait donc je pouvais bien me l'autoriser... Je pris ma bombe, et je me dirigeais vers le box d'Eitan. Il poussa un petit hennissement et je lui dis:

Allez mon beau, on va faire une petite ballade au bord de la mer.

Je lui mis son filet et le sortis de son box. J'avais monter plusieurs fois Eitan, et il avait compris qui commander. Même si un cheval n'est jamais soumis, il avait compris que moi, il ne m'aurait pas. Je sortis du box avec Eitan. Je passais les rênes par dessus son encolure et quand je fus sortis des écuries, je me hissais sur son dos sans l'arrêter. Eitan était un poney ultra confortable, et son garrot et sa colone n'étaient pas saillente. Ce qui était agréable !! Je partis au pas vers la plage, puis je pris le trot. Je gardais une assiette et un équi:ibre bons. Quand j'arrivais vers la mer, je lui fis prendre le galop, et Eitan partis comme un petit fou. Je le laissa galoper un petit moment, appréciant le coucher de soleil. Le petit poney laissa un nuage de sable derrière lui... Je le ralentis et le fis repassais au trot. Je le carressais, et je remarquais la fine silouhette muscler de Make. Je contiunais un peu de trotter avant de repasser au pas. Je fis marcher Eitan dans le bord de l'eau. Un fin filet d'eau venait s'échouer sur les sabot du Fjord et repartais aussitôt. Il ronfla doucement des naseaux et je me dirigeais vers les deux silouhette. Si je ne me trompais pas, la cavalière qui l'accompagnait devait être Nouméa. Je descendis d'Eitan et Je l'emmena jusqu'a Nouméa. Quand je fus près d'eux, Make était coucher. Je lui dis:

Salut, Nouméa.

Je m'assis sur le sable, et Eitan se coucha près de nous. Je tournais la tête, et je remis bien les rênes pour ne pas qu'il se blesse. Je reposais mon regard sur Nouméa et je lui souris.

Perdue dans mes pensées, j'entendit des sabots, aux bruits, le cheval étaient au grand galop. Etais ce Make qui s'échappait, non j'étais posé dessus. Je posa ma main sur sa croupe pour le remercier de tout, d'être à mes cotés, de me réconforter et de me permettre de m'épanouir avec lui sur les terrains de concours ! Je repensais toujours aux paroles de Paola, si direct, si claires, sans regret... Comment notre relations avait elle pu tourner comme ça ?
J'entendis les pas ralentirent puis je me retourna, je découvris alors le fjord isabelle & une chinoise, de loin je ne sus laquelle c'était. Je me retourna, en réfléchissant Aiko était parti en voyage ce ne pouvait être qu'Utopia !
Elle s'arreta et posa pied à terre, Mak ronfla, il n'aimait pas la présence des autres chevaux ! Utopia, ordonna à Eitan de se coucher, si intelligent le fjord s'executa et se coucha nez à nez avec Make. Utopia s'asseya à mes côté, comme Make j'avais envie de ronler, pour dire que je voulais être seule. Mais comment l'espliquer sans vexer ? Comment dire que ma compagnie en ce moment n'était pas la mieux!
Salut,
dis je d'un air morose. Je fixai toujours le point sur l'eau que je trouvais joli, à vrai dire c'était le même partout. Puis d'un coup j'attrapa une poignée de sable pour la lancer le plus fort possible, espérant que toute ma tristesse demenagerai dans la poignée de sable ! Helas, ce ne fut rien de cela !

Nouméa avait l'air plus que triste. En même temps vu les paroles que lui avait dite Paola, c'est sur qu'elle n'allait pas péter la forme. Je posais mon regard sur Eitan. Il était nez à nez avec Make, qui lui n'avait pas trop l'air d'apprécier. Je souffla près de l'oreille d'Eitan:

Pas de bisous avec Make mon grand.

J'eus un petit sourire, et le petit Fjord secoua doucement la tête et il posa son regard sur Nouméa. Il ronfla gentillement. Nouméa m'avait saluer avec un ton morose. Je passais une main sur l'encolure du petit isabelle. Comment faire pour l'aider? Mais en même temps ça serait m'en mêler... J'interrogeais Eitan du regard, mais bon, il ne serais pas me répondre. Je reposais mon regard sur la directrice. Elle avait pris une poignée de sable et l'avait lancer. Moi quand je me sentais mal, soit je mettais mon poing dans quelques choses, soit je mettais ma tête dans mon oreiller et je criai un bon coup... En même temps j'ai longtemp était ignorer, rabaisser ou insulter pour mes origines... Je n'ai jamais vu de grande différences, mais bon. Je lui dis gentillement:

Je n'aime pas me mêler des affaires qui ne me regarde ou ne me concerne pas... Mais te voir comme ça, et voir comment Paola te parle, j'avoue que ça me tracasse. Je ne savais pas ce qui c'était passer avant que Paola ne me l'ai dit ... Mais sache, que si jamais tu veux parler à quelqu'un, je suis là.

Je ne savais pas trop quoi dire. Je ne voulais pas faire celle qui se mêle de tout, ou qui c'est tout.Je ne souriais pas, mais, mon regard disait tous. Toujours aussi expressif..

J'entendis les paroles d'Uotpia venir à mes oreilles, ses paroles me rassurèrent ... J'hochai la tête pour lui dire que j'avais compris. Puis je me retourna vers elle et commença à me délivrer de tous ses mots blessant qui tranchait mon coeur petit à petit ...
Je la regardais donc avec mes petit yeux morose et éclairçit ma voix ...
Merci, Merci beaucoup ! Merci d'être là. Tu sais Utopia, je t'aime vraiment bien. Premièrement tu m'aide beaucoup au domaine, tu ne t'en rend pas compte mais si tu savais comment tu m'évite de stresser parce que les chevaux sont pas sortis ! Puis avec toi je sais qu'il seront bien ! Puis deuxièmement, j'aime bien le respect de l'intimité que tu me porte ... et pour te " remercier " de cette gratitude. Je vais t'expliquer deux trois trucs ...
Je me retourna pour faire face à la mer, ses mots allaient être dure à sortir.Je ne savais pas par quoi commecé. Je dis la première chose qui me vint à l'esprit.
Mes parents me manquent vraiment plus que tout ! Danc chaque recoin de l'écurie, je les vois, refaire les perpétuelles actions quotidiennes qui à l'époque m'ennuyait. Mais si tu savais maintenant ce que je voudrais donner pour retrouver cette monotonie ... Je pensais que sa allait être simple à gérer mais après l'agrandissement sa fait plus d'entretien plus de chevaux,. Entre ça & mes soeurs j'ai du mal puis maintenant avec Noah et ...
Je n'osai trop encore utiliser le terme foetus...
Bref, je ne sais si j'arriverai à tout réussire. Mina ne fait rien & déprim, je n'arrive pas à la consoler, Paola qui m'ne veux à mort. Noah qui me dit toujours de me détendre et maintenant ce petit bout qui me donne des coups de pied, entre les entrainements de Make & Yucca, la gestion j'ai du mal ! Puis moi même aussi, j'ai tellement peur de tout louper, de tout devoir recommencer, je me fais une image que je montre de moi, que je suis joyeuse j'aime cette vie... Mais au contraire .. J'aimais me mettre les pieds sous la table, n'avoir qu'a monter ou faire des cours au Débutants, sortir tout les WE en concours, j'aimais parler avec mes parents. Je pensais que je n'allais jamais ressentir un trou plus profond qu'à la mort de ma championne ! Mais si là c'est bien pire ! Alors que je faisais petit à petit le deuil de ma jument et que je commençais à me réalimentais, rigolais, revoir les couleurs de ce monde, premier concours de la saison; paf accident des parents ... Et revoilà le trou ouvert à sang plus qu'il ne l'a était ...

Nouméa Hocha la tête avant de se retourner. Je la fixai. Elle avait les yeux remplit d'une lueur morose... Et les miens était si joyeux.Elle s'éclaircis la voix avant de me parler. Nouméa me remercia pour plus plusieurs. La première, fus que je la'ider beaucoup en m'occupent des chevaux, et plus de ceux qui n'était pas pris. Je souris et hocha vite fait la tête pour la remercier en évitant de la couper. Et la deuxième, fut le respect de l'intimiter que je lui apporter. Je souris de nouveaux. On m'avait élever comme ça, et puis j'avais toujours appris les méthodes douce et patiente. Pour moi la violence ne résoud rien. La preuve dans mon ancien centre une élève c'était énerver contre sa jument et l'avais taper méchament. Résultat quand elle a voulu la remonter sa jument c'est rebeller, elle la bousculer et elle se cabrer a moitier essayant de la toucher avec ses antérieurs. J'étais intervenu et j'avais parler calmement et gentillement a la jument. Et quelques jours plus tard la jeune fille a pu la remonter. Quand elle eut fini je lui dis dans un murmure:

Merci, je t'écoute.

Je carressais tendrement l'encolure d'Eitan, et il c'était relever pour s'allonger près de moi. Je mettais l'auti contre ses flancs, et je posais mon regard sur Nouméa. Elle c'était tourner vers la mère et avait commencer. Ces parents lui manquait énormément, et elle les revoyer dans chaque recoin du Domaine. Sa ne devait vraiment pas être facile ... Elle continua en me disant qu'elle pensait que sa serait plus facile... Rien n'est facile, mais tout les solutions aux problème posait son bien plus simple que l'on ne croit. Et puis, le problème avec ses soeurs, puis Noah et ... le bébé qu'elle attendait. Nouméa n'avait pas eu à finir sa phrase, j'avais deviner. Nouméa doutait, elle ne savais pas si elle arriverait à tous gérer et par dessus ça, Mina piquer une dépression et Paola lui en voulait atrocement. Je me leva et je viens me mettre près d'elle. Nouméa avait deplus en plus de mal avec les entrainements de Yucca et de Make, plus le petit qui lui donner des coups. Je regardais les reflets du soleil sur la mer, tout en écoutant la directrice. Elle se mets une pression en plus avec la peur de tout louper et cette image qu'elle se donne... Et la fin me pressa le thorax. Elle m'expliqua que alors qu'elle commençait à surmonter la mort de sa ponnette, ses parents avait eu un accidents déssisif... Et voilà une plaie reouverte. On m'as toujours dit, que les plaies internes ne sont jamais guéri. On y mets juste des pansements pour atténué la douleur. Je lui dis d'une voix douce et réconfortante:

Essaie de moins te mettre la pression, au pire offre toi une journée dans un talasso et moi et Mina on s'occuperas du Domaine.Biensur tu peux ne pas le faire... Après, je sais que tu aimes énormément Make, qu'il est comme un grand frère... Mais si tu veux je peux t'apaiser en le montant, et pareil pour Yucca.

Je m'arrêtais un cour moment. Je repensais à Esprit. Mon grand rebelle au allures de protecteur. Mon grand frère, celui qui combalit le trou qu'avait former cette subite séparation... Il m'avait toujours soutenu, et il m'avait compris... Je repris, lles encore perdu dans mes pensés:

J'ai moi aussi eu pleins de trous dans ma vie. Un accident de cross à marquer ma vie comme un fer brulant marque la croupe d'un cheval de race. Cet accident que j'ai eu avec Esprit... La ou on aurait pu y laisser la vie, déjà que personne ne voulait de lui a par moi... Il a failli partir à l'abatoire, mais il c'est rétabli. J'ai recommencer à le monter. Mais quand j'habitais encore au Japon, malgré la vie sublime que je passais certaines chose me faisait mal... Et cet incendie... La ou tous nos chevaux ont perris ...

Je me stoppa net. Je n'en avais jamais parler, cette plaie était encore ouverte.Iris, fougeux, rivière, spirit ... tous ... ils étaient tous mort à cause d'eux.

Des personnes qui étaient jaloux de mes parents ont mis le feux au écurie. Ils ont vérrouiller les portes et sont partis. La porte, et celle des box ... on n'a pas pu les sauver. Et leurs hennissements me hantent encore. Parfois même j'en rêve.

Je leva les yeux vers le ciel. Je mettais jurer que ça n'arriverais plus. J'aurai du suivre mon intuitions! Je me sentais mal cette nuit-là. J'avais un mauvais préssentiments, mais, mes parents m'avait dit que j'étais juste fatiguée. J'étais aller me coucher et quand ils c'étaient mis à hennir je mettais lever en sursaut. J'avais réveiller mes parents et appeler les pompiers. Mais ils n'étaient jamais venu... Je repris:

On m'a toujours dit: Les plaies internes ne sont jamais guéris, on y met juste un pansement et la douleur s'atténue...

J'acquiesais.
Non désolé, je ne peut te donner plus de travail, tu en fais déjà tant ! Puis Make et Yucca sont les miens donc c'est à moi de les travailler et je dois savoir faire la différence entre le travail et mes chevaux ! Et mettre le tracas et le stress du travail sur le dos de mes chevaux ! Surtout que Yucca n supporte pas quelqu'un de stresser !

Quand Uotpia me fit sa révélation, j'étais déjà au courant, je l'avais lu dans son dossier mais je n'aurais jamais cru qu'elle allait m'en parler. J'étais plus vieille qu'elle et aucun lien vraiment ne nous retenais mais je sentais que grâce à ces révélations ça allait changé.

Je suis désolé ! J'étais au courant, enfin vaguement.. Mais je n'aurais jmais cru que tu me le confierai de vive voix. Je suis contente que tu m'accorde ta confiance à travers ses paroles.

Je n'osa pas lui dire quetout le temps la voix de mon père et de ma mère me hantent .. Au petit déjeuner, lors des concours ou d'habitude ils étaient derrière la ballustrade à me crier dessus lors de mes faute et à m'encourager quand j'y arrivais. Et maintenant quand je montais, je vois toujours leur fantome ...

Je la regardais après son " dicton "
Tu as raison et pour ma part, mon père m'a toujours dit : A cheval, il n'y a pas trente six mille choix à faire. Juste deux, soit tu fais équipe ou soit tu te la joue perso.
Dans mon cas, jusqu'ici, je me suis jour perso, j'ai pris la grosse tête alors que je ne vaut pas mieux que Paola !
Je me relevai, Make me regardait. Je lui caressa l'encolure. Je m'éloigna d'un pas pour lui faire comprendre de se relever, ce qu'il fit avec Lourdeur.
Papi va !
Je souris.
Je commença à enlever la bride de mon beau et lui enleva le mors.
Maintenant, je fais equipe mon Brave !
Monter et un joli mot mais si c'est monté de force contre son partenairece n'est plus de l'équitation mais du carnage. Alors que si le cheval se sent libre et que d'après lui ça n'a pas été un carnage mais de l'équitation, celui ci ne devra pas quitter son cavalier dans l'autre cas, il s'enfuira...
Make me regarda et fit un pas vers moi, je tendis la main, il la renifla et ravanca et vint poser sa tête sur mon épaule, je lui carressa la ganache et lui deposa un baiser sur le nez. Puis sans remettre la bride, je remonta dessus. Je tenais un poignet de crins et tenta de diriger à la voix et avec mon corps.
Pas, mon grand
Il prit le pas et s'est ainsi que petit à petit je m'eloignais du coin ou je m'étais assise.

Nouméa refus gentillement ma proposition. D'un côté c'est vrai qu'elle n'avais pas tort... Mais de toute façons je ne passe pas deux heures avec un cheval, sauf s'il en a besoin. Je reste sur des choses acquise et j'entamerais d'autre exercices plus tard. Je regardais Nouméa. Elle m'avoua qu'elle le savait déjà. C'était certainement écrit dans mon dossier... Je souris, un sourire qui se révélait un peu triste. Nouméa ne pensait pas que je lui dirais, et qu'elle était contente que je lui accorde sa confiance. Je lui souris:

Même si tu le savais déjà, ça fait toujours du bien de ce onfier à une personne. Une personne à qui l'ont accorde sa confiance.

Je me levais et je regardais le ciel. Cela faisait déjà un bon moment que ça c'était passer... Je m'en étais voulu et je m'en veux encore. Pour moi, c'était ma faute... Je pris une grande inspiration avant de la relacher doucement. Je fixai Eitan, et je lui souris. Je m'approcha de lui et je posais ma main sur son chanfrein. J'ai beau monter beaucoup de chevaux cela ne m'empêche pas de les aimer...Je m'accroupis devant lui et je lui fis un petit câlin, avant de me relever. Je regardais Nouméa quand elle d=eut dit à Make: "Papi va!" J'eus un petit sourir. Elle s'approchais de lui et la directrice lui enleva sa bride en lui disant qu'elle faisait équipe. Je lui souris. L'équitation est un art qui se pratique à deux: Le cheval et le cavalier. Si on ce la joue perso' et qu'on essaie de soumettre son cheval, on ne va pas bien loin. Je tournais la tête et je regardais Eitan. Il se releva, et il fis un pas vers moi avant de tendre son encolure vers moi. Je posais ma main sur le bout de son nez et je le gratouillais un peu. Je remontais ma main tout en le gratouillant. Puis je me mis sur le côté et je monta sur son dos, et prenant juste la couture. Une simple mesure de sécurité. Je m'assis doucement sur son dos, et je tenais juste les rênes à la couture. Je restais à côté de Nouma quand elle se mit à marcher, gardant de bonne distance. Je les regardait. Ils formaient déjà une bonne équipe, mais si en plus Nouméa c'était décider à faire réèllement équipe avec Make, il allait faire de belles choses. Je marchais tout en restant dans mes pensée. Puis je dis à Nouméa:

Vous formez déjà une bonne équipe, et je suis sûr d'une choses, c'est qu'ensemble vous accomplirais de belles choses...

Je lui souris, tout en caressant Eitan.

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